L'étude graphologique est le seul test qui garantisse l'authenticité des réactions du scripteur(trice).
On comprend ainsi pourquoi, depuis longtemps déjà, l'infinie variété des écritures a éveillé la curiosité des Hommes. Le premier, LAVATER, encouragé par GOETHE, notait en 1806, "une analogie admirable entre le langage, la démarche et l'écriture". En 1812 était édité à PARIS un ouvrage anonyme sur « L’Art de juger de l'esprit et du caractère des hommes sur leur écriture ». On peut signaler ensuite des travaux de l'Anglais Stephen COLLET, des allusions à la Graphologie d' Edgard POE et de Walter SCOTT, pour arriver, en 1830, à une école de graphologie dont faisait partie l'Abbé FLANDRIN, le maître de l'Abbé MICHON. Ce dernier sut rassembler les travaux de ses prédécesseurs, qui s'étaient multipliés durant le XIXème siècle, et, par ses recherches personnelles, élaborer entre 1840 et 1810 la première "Méthode de graphologie" -.Citons un autre remarquable ouvrage de ce pionnier : son "Dictionnaire des notabilités de la France jugées d'après leur écriture". Enfin, les travaux de CREPIEUX-JAMIN, avec surtout "L'Ecriture et le Caractère" (1888) et « L'A.B.C. de la graphologie » (1930) aboutissent à une véritable classification des signes graphiques, dont les graphologues se servent encore aujourd'hui, notamment en France.
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